Caen et Bayeux en immersion totale dans la magie du Tour de France
- Marjorie, l'Exploratrice Bien-Être
- 9 juil.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 20 minutes

Mercredi 9 juillet – Le contre-la-montre à domicile (Caen)
Vraiment, cette journée à Caen restera gravée. Ce n’était pas juste une étape du Tour de France, c’était l'étape 5, le contre-la-montre, et en plus à domicile ! Pour m’y rendre, jétais à deux pas. J’ai commencé la journée à pied, en mode tranquille, repérage des meilleurs spots, ambiance qui monte doucement... et bim ! la caravane déboule, les goodies pleuvent (T-shirt, casquette, jeton de caddie en forme de pneu... la totale !).
Et quelle ambiance ! Ça vibrait de partout. J’ai vu passer Remco, Pogacar (en maillot à pois !), Vingegaard, Girmay, Alaphilippe, et j’en passe. J'ai profité du moment jusqu’au tout dernier coureur : Mathieu Van Der Poel. Frissons, émotions, et bronzage de ouf avec marque de casquette en prime. Bref, une journée de rêve, le cœur encore tout retourné de retour à la maison.
Jeudi 10 juillet – Bayeux, sous le soleil exactement

Ce matin, changement de décor : départ tôt pour Bayeux à vélo, 32 kilomètres d’une route pas franchement idyllique, avec chaleur et trafic. Clairement, pas la partie la plus fun du périple. Mais c’était le départ de l'étape 6, ça valait donc le détour ! J’ai pu assister à la préparation, la présentation des équipes, l’alignement du peloton.
Je n'étais pas très bien placée au début, un peu à l’aveuglette. Mais j’ai quand même pu voir mes favoris, même si j’ai raté Vingegaard de peu. Et puis, j’ai tenté quelques photos. Pas parfaites, mais je ferai le tri plus tard. Lors d'un tel évènement, c’est plus le ressenti qui compte.
Constats et fierté au retour
Le retour à vélo a été plus long qu'à l'allé : 36 kilomètres, sous le soleil. Et là, pendant que je pédalais, les pros, eux, avalaient leur étape 6 à toute vitesse. Quand je suis arrivée, ils étaient à 36 km de l’arrivée sur 201,5 km !..
Et moi, pendant ce temps, je peinais sur mon vélo, me disant : “Un BRM 200 comme j’ai fait l’an dernier, ce n’est pas rien quand même...” Non, je n'ai pas de regret de pas avoir beaucoup roulé plus cette année, ce n’était juste pas le bon moment. Mais je f6ais tout de même le constat : il faut que je reprenne un peu les bases si je veux retrouver cette aisance ! Et le Paris-Brest-Paris en août 2027 ? Cette épreuve de 1200 kilomètres, j’en avais rêvé, mais en pédalant sous cette chaleur, j’ai juste réalisé que ce n’était pas pour tout de suite.
Marjorie R
Comments